«harcelée sur son téléphone et par sms» et était «très inquiète».

Le père des enfants de la magistrate assassinée à Bordeaux a été mis en examen.

26.08.2011

« (..) Ce manutentionnaire aurait très mal vécu la séparation du couple en 2009 et la nouvelle relation commencée par son ex-compagne. Myriam Sanchez, 43 ans, s'était plainte auprès de ses proches du harcèlement qu'il lui aurait fait subir. »

Quand des juges refusent de croire à la dangerosité d'un ex-compagnon , minimisent les signaux d'alertes ou les appels au secours , et ne prennent pas suffisamment en compte les éléments du dossier, ils mettent une femme et ses enfants en danger.

Cette fois une magistrate en a mesuré la réalité.

De nombreuses femmes sont décédées pour cela. Pour autant pas de principe de précaution de poser très volontairement, et force est de constater que dans notre pays le doute ne profite ni aux enfants, ni aux femmes…

Nous sommes obligées de poser cette question fondamentale en termes de droit des victimes : Les femmes qui se séparent de leurs compagnons qui ont des comportements, violents, manipulateurs, destructeurs, sont elles suffisamment protéger par la justice. Nous répondons clairement, NON !

Elles sont nombreuses à payer de leur vie les témoignages contestés, les plaintes classées.

Lire l'article du Parisien